Tiens, regarde ce que j'ai fait cette nuit pour mon perso moine ... Ce ne sont pas encore les dogmes (puisque je ne les ai pas encore rédigés bien que je les ai déjà classifiés en notes) mais les circonstances de la création récente de l'ordre monastique nommé l'Ordre Ancien ...
Ce n'est pas romancé (juste des notes), histoire de situé les circonstances importantes à cause de la jeunesse de l'Ordre et surtout le fait que l'ignorance du nom de 'Dieu Mort' provoque actuellement l'émergence de différents courants de pensée au sein même de l'Ordre.
Notes concernant le fondateur de l’Ordre Ancien
(Temps – 70-80 ans / groupe d’aventuriers d’un niveau 7-10)
Une expédition part de Faerûn pour les contrées de l’Est à la recherche d’un hypothétique trésor du légendaire Empire Oriental de l’Imaskari, disparu depuis longtemps. Ce trésor est sensé se trouver sur les versants occidentaux de la Cordillère du Katakoro-Shan (Terres de la Horde).
L’expédition doit traverser les Terres de la Horde et affronter les déserts (genre steppes, désert de Gobie), les tempêtes, les orages, les hordes de nomades (Taangans, qu'on peut assimiler à des Mongols), créatures et monstres de toute sorte, durant plusieurs mois. Au cours de ce voyage, de nombreuses vies sont perdues.
Vient ensuite l’exploration dans le Katakoro-Shan (Himalaya en plus grand) et tous les dangers inhérents aux montagnes des Royaumes Oubliés (il ne reste que le groupe d’aventuriers + commanditaire) … Quand enfin, le site légendaire est à priori situé, il n’y a plus que quelques survivants. Reste encore à affronter les dangers naturels d’un glacier pour enfin accéder à l’entrée du site. Seuls, trois d’entre eux parvinrent à franchir le seuil … le ranger (bi classé ensorceleur), son compagnon roublard et le commanditaire.
Ils trouvent sur place ce qui ressemble à une crypte avec le symbole recherché (fleur de lotus) pour identifier à coup sûr le lieu. Elle n’est formée que d’une unique salle dans laquelle se trouve un grand coffre de pierre. Après son ouverture et l’étude de ce vestige, la conclusion est faite qu’il s’agit en fait d’un sarcophage de pierre tellement ancien qu’il ne contient plus que de la poussière.
Le voleur épuisé, dégoûté d’avoir tant perdu (amis, risques …) et supporté pour de la poussière, s’en prend au commanditaire qui se défend. Mais entre leur fatigue, découragement et leur colère, ils s’entretuent sans que le ranger puisse les séparer. Le ranger se retrouve seul, effondré, épuisé, isolé …
Après quelques jours de prostration, le ranger décide de mettre la dépouille de son ami dans le sarcophage vide tandis qu’il se servit du corps du commanditaire pour attirer des charognards (et les chasser). Alors qu’il veut fermer le sarcophage, il se rend compte qu’à l’intérieur du couvercle, se trouve une inscription d’un dialecte étrange et inconnu (sanscrit) avec au-dessus du texte, la représentation d’un humanoïde dans une position méditative particulière et au visage à l’expression particulièrement sereine et apaisante (Bouddha en position du Lotus).
Il décide d’attendre le printemps pour le voyage du retour et mets le temps à profit pour faire une copie aussi fidèle que possible du texte et du dessin du couvercle, sur les parchemins que possédait le commanditaire (magos). Malgré ses recherches, il ne trouve aucune autre inscription ou objet particulier.
Le voyage de retour tourne court car, affaibli par la précarité de sa situation, malade, il se perd dans les montagnes et fait une chute qui le laissera pour mort au fond d’un ravin. Trouvé par des moines, il est mené, dans un état critique, dans un ermitage où une demi-douzaine de moines prennent soin de lui.
Après quelques semaines nécessaires pour retrouver un minimum de santé, il va prendre conscience du lieu dans lequel il se trouve : l’ermitage consiste en un petit domaine constitué d’une bâtisse austère et d’une cour intérieure avec un jardin où pousse de quoi subsister et, le plus curieusement, un bassin sur lequel poussent des dizaines de fleurs de lotus, grâce à un microclimat tempéré dans ce pays glacial. Il fait rapidement le rapprochement avec le symbole représenté à l’entrée du site recherché par le commanditaire.
Il fait alors part de ces faits à ses hôtes et leur montre la copie qu’il a faite de la représentation du couvercle du sarcophage. L’un des moines, le plus âgé, se souvient alors d’avoir vu le même genre d’écriture … Ils se rendent dans une petite salle dans lequel se trouve un coffre de bois très ancien. A l’intérieur, des tablettes de bois vermoulues sur lesquelles on devine une écriture semblable, à demi effacée.
Le ranger décide alors de rester, intrigué, et étudie auprès des moines. Le temps passant, vivant au même rythme qu’eux, il finit par prendre goût à leur mode de vie et décide de suivre une voie semblable, n’ayant plus grand-chose à attendre de la vie, ayant perdu ses amis et ne cherchant plus que la paix de l’esprit.
Rapidement, au printemps suivant, il ne peut plus se contenter des maigres vestiges à sa disposition. Obsédé par le visage particulièrement serein de l’humanoïde (Bouddha), il décide de parcourir Faerûn afin de trouver la moindre information qui pourrait lui permettre de comprendre les inscriptions dans cette écriture inconnue. Il n’emporte avec lui que les copies des différents écrits.
Durant des années, d’un bout à l’autre de Faerûn, toutes ces recherches et retraites passées à étudier demeureront infructueuses. Ce n’est qu’à un âge avancé que, par lui-même, usant de son expérience et de ses pouvoirs d’ensorceleur, qu’il finira par réussir à traduire (à priori) les textes.
***textes en sanscrit à trouver***
Le sens probable de ces courts messages lui fait comprendre qu’un être atteignit un état de sérénité sans précédent et qu’il fut vénéré tel un dieu. Il décide alors d’essayer de suivre la même voie et de découvrir toujours plus au sujet de ce dieu disparu et inconnu ou oublié de Toryl. Il parcourut alors Faerûn, partageant avec qui le souhaitait, la sérénité et la beauté du message du dieu ‘mort’ car oublié et laissant derrière lui de jeunes et nouveaux adeptes qui fondèrent leur monastère, un peu dans toutes les régions. L’Ordre Ancien, ainsi nommé à cause du caractère ‘ancien’ du dieu serein, venait d’être créé.
Nul ne sait où se trouve actuellement le ranger ensorceleur moine … Il est de bon ton de supposer qu’il est sans doute mort, paisiblement, quelque part, on ne sait depuis quand …
**********
Bon, comme tu l'auras deviné, le nom du Dieu Mort est bien sûr Sidartthâ je ne sais plus comment ça s'écrit - c'est le nom d'homme du Bouddha, quand il était encore un prince en son pays) et ce qui est fun, c'est qu'en fait, ce n'est pas un dieu mais bien plus encore puisqu'il a atteint l'illumination, chose jamais atteinte par les dieux de Faerûn etc ...
Dim 20 Avr - 18:26
)
